Conclusion

  


      Par conséquent, la délocalisation par les entreprises agroalimentaires bretonnes 
démontre des avantages, ce qui peut pousser les entreprises de cette activité économique et de cette région à délocaliser. Cependant on voit que certains critères doivent être pris en compte, tel que le statut de la firme. Ensuite, la délocalisation présente des inconvénients, au vu du coût logistique mais aussi celui des matières premières. De plus, la délocalisation serait synonyme de perte de l'image bretonne. La réputation de l'entreprise en pâtirait. On peut donc dire que la délocalisation par les entreprises agroalimentaires bretonnes malgré des aspects positifs pour celles-ci, ne leur permettrait pas d'optimiser leurs bénéfices.
       On a pu observer récemment une polémique autour de l'écotaxe. Cette dernière viendrait s'ajouter aux contraintes logistiques que comporterait déjà la délocalisation pour ces entreprises. Même si le projet écotaxe concerne l'ensemble du territoire français, la Bretagne semble singulièrement affectée par celui-ci




Remerciements :


     Nous tenons à remercier Mme BOULLIER, secrétaire générale de Cooperl Arc Atlantique, pour le temps qu'elle nous a accordé, et les informations qu'elle nous a fourni sur cette coopérative bretonne. De même, M. LECORGUILLE, responsable des agences Agro Interim de Lamballe et Rennes et chargé du développement en milieu GMS, nous a aidé à mieux comprendre le contexte dans lequel évoluent les entreprises de l'agroalimentaire Bretagne.
   Nous n'oublirons pas l'aide apportée par Mme CHAUVEAU, professeur d'histoire géographie, Mme DE CHOULY, professeur d'SES et M. LE FLOHIC et Mme RIALLAND documentalistes.


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